Consultez des rêves

Vol de petits copains

Un terrain de foot s’il vous plait !

De l’argent

Courir tout nu

Des professeurs plus gentils

Voyager dans le temps

La mer au Pays d’Othe

Voir des insectes

Une campagne comme autrefois…mais surtout comme … demain !

Je fais le rêve de pouvoir me balader dans une campagne sans produits chimiques épandus à tout va.
0% PHYTO ! 100% BIO !!
Un retour vers de petites fermes, de petits paysans, de petites cultures et de l’élevage pour retrouver des paysages avec des pâturages et des haies.
Ne plus avoir la tristesse et la colère qui montent lorsqu’au printemps, saison de tous les renouveaux, je vois ces affreux engins pointer le bout de leur sale museau nous rendant l’air viciée et irrespirable !
Je rêve que tout cela disparaisse !
J’imagine que je pourrai aller acheter près de chez moi, à pieds ou en vélo, des légumes frais, de saisons et sans pesticides. Des fruits ! de la viande…
Je rêve aussi que le Front national ou autre partie d’extrême droite ne fasse plus de score record par ici. Que l’on accepte enfin la diversité, les différences comme un tas de richesses. Que la haine et la peur de l’autre, celui qui vient d’ailleurs ne soit plus un leitmotiv.
Je rêve que chacun ait envie de partager.

Je rêve que l’on rêve un peu le même rêve, pour nos enfants, nos petits enfants et encore après…
Respecter, préserver, partager…

Nous pourrions …

Nous pourrions servir plutôt qu’asservir, écouter avec bienveillance et respect, aider, collaborer, être tendres et joyeux. Nous sommes un (e) parmi tous, insectes, plantes, arbres, animaux, simplement humain(e)s, pas plus, et puisque nous avons la conscience d’être, nous avons plus de responsabilité.
Puissions-nous avoir cette utopie d’être perpétuellement à l’écoute et de savoir recevoir.

un monde de douceur

J’aimerais un monde dans lequel la douceur primerait, un monde de tolérance, de respect dans lequel chacun se rejouerait du bonheur de l’autre.
Un monde qui ressemblerait à mon cocon familial dans lequel nous nous aimons et nous respectons malgré nos différences. Dans ce monde il faudrait rire aussi et puis se retrouver fréquemment autour d’une bonne table à se remémorer les souvenirs, les frasques d’un oncle parti trop tôt ou celui d’un grand-père au caractère bien trempé ! Le Pays d’Othe m’a vu grandir, partir mais lorsque j’y reviens je ressens ce petit supplément d’âme. Fontenaise je suis et fontenaise de coeur je resterai.

Je rêve d’un Pays d’Othe sans politicien brutal

Je rêve de ce moment-là, oui ! Je rêve d’un Pays d’Othe apaisé, réuni, administré sans coup de menton ni coup de sang, sans brutalité, échappant à l’arbitraire, enfin respectueux. Le Pays d’Othe que nous aimons alors que nous subissons à présent l’omnipotence, serait-il devenu le résultat d’un seul homme ? J’ai mon intime conviction que je garde la nuit pour rêver et envisager un avenir positif mais ces rêves ne deviennent que des cauchemars.

Accompli

Il y a 9 ans je suis tombée amoureuse ! De lui et…… de son pays….. le pays d’Othe.
Depuis, mon rêve était d’y construire ma vie !
C’est chose faite, installation en octobre et mariage en décembre !
Nous continuons à rêver ensemble…. notre maison, nos projets, nos voisins, nos amis, notre village…. Le Pays d’Othe est un pays de rêves !

Un pays d’Othe plein de vie !

Je rêve d’un Pays d’Othe
Où le nombre des chevaux serait multiplié par dix
Où le nombre des moutons serait multiplié par cent
Où le nombre des poules serait multiplié par mille
Où le nombre des oiseaux serait multiplié par dix mille
Où le nombre des abeilles serait multiplié par cent mille
Où le nombre des vers de terre serait multiplié par un million

Je rêve
je sais
mais quand même…

Changer les regards

Pour avoir travaillé auprès des personnes en difficulté j’ai souvent observé la honte qui était la leur de se trouver dans cette situation. Corps prostrés au premier entretien, difficulté à exprimer le besoin, regard fuyant ………. pourtant je reste persuadée que chacun à une histoire qui vaut autant que celles de ceux à qui on donne la parole parce qu’on aime mieux écouter les gens beaux intelligents riches et en bonne santé que ceux qui mettent la lumière sur ce qui ne marche pas , sur les inégalités, sur l’absence de solidarité, sur l’indifférence ….. Je rêve donc d’arriver à faire raconter à ceux qui se sentent interdits de bonheur, leur histoire, pour qu’on s’aperçoive qu’elle n’est souvent pas très différente de la nôtre et qu’il n’y a donc pas de raison de les regarder de travers, ou qu’elle l’est vraiment et que nous avons à apprendre et à nous enrichir de cette différence. Le défi est de trouver le mode d’expression qui permettra de gagner leur confiance pour que la parole s’autorise à advenir et à réussir à faire quelque chose de toutes ces histoires pour finalement valoriser ceux qui les ont racontées ou écrites et au final, à changer le regard des autres sur eux même.

Rêve d’une autre campagne

Je rêve d’une approche de l’éducation, plus libre, plus ouverte, qui respecte les besoins et les rythmes des enfants, qui leur fait confiance et qui les écoute.

Je rêve d’une prise de conscience de la société sur le rôle primordial de parent, l’activité qu’il engage, et son incompatibilité avec un travail extérieur à temps plein et plein de stress.

Je rêve d’une campagne sans pesticide, produisant et distribuant la nourriture de base sur place.

Je rêve d’un système de santé ou la priorité serait l’humain, pour le personnel comme pour les malades, et ou l’âme serait soignée aussi.

Je rêve que la société se calme, prenne le temps, arrête de courir.

La Tangente du Pays d’Othe

Pour le Pays d’Othe, je rêve que, avant qu’il ne soit trop tard, l’ancienne voie de chemin de fer Sens-Troyes soit aménagée en voie verte, pour les piétons,coureurs, vélos, vélos électriques, fauteuils roulants, rollers, trottinettes, chevaux, landaus, poussettes, tricycles, etc….Ça s’appellerait « La Tangente du Pays d’Othe » parce que c’est tangent au Pays d’Othe, elle relierait le Pays d’Othe de l’Yonne et de l’Aube, Sens et Troyes, elle permettrait de faire des trajets dans la Vallée de la Vanne en évitant la nationale devenue trop dangereuse pour les cyclistes, on pourrait par exemple, de Chigy aller se baigner à Paisy Cosdon en vélo sans risquer sa vie, faire la promotion du Pays d’Othe et de la Vallée de la Vanne pour le tourisme à vélo, organiser des petits événements genre randonnée en roller ou promenade familiale avec des jeux et des animations ou balade de vélos anciens et vintage. On dirait « Dimanche, on prend la Tangente » et on se croiserait forcément! ça n’est pas large! On inviterait des amis et on pique-niquerait sur la Tangente parce qu’il y aurait quelques petites clairières sympas, les écoliers pourraient la prendre, ça serait simple mais pratique, convivial et gratuit. Les commerçants les plus proches seraient indiqués bien sûr, et ça ferait parler du coin et il y en a même qui ferait Sens-Troyes en vélo ou en courant, des héros! Il y a aura même le livre des records de la Tangente, on dira même que c’est écolo, vert, durable, décroissant pour faire plaisir au élus et au journalistes, pourvu qu’on en parle! Je rêve que des gens rêvent comme moi et militent pour la Tangente, créent un mouvement, une association, un collectif pour harceler les élus, les financeurs potentiels et même prendre la maitrise d’œuvre de ce projet avant qu’il ne soit trop tard. Cette voie ferrée abandonnée définitivement serait le symptôme, le reflet du manque d’ambition et d’imagination des élus et des habitants, il faut rêver mais aussi agir! Et qu’on ne dise pas que ça n’est pas réaliste avant d’avoir tout essayé!

Envie

Je reve de revoir ma Grand Mère 😟😟

Des animaux, pas de contrainte et du respect…

Le Pays d’Othe sous l’océan ?

Un rêve à portée de patte

Le styliste

La chasse

Je rêve que je suis un chasseur, un beau dimanche d’hiver.

Mais cette fois-là, tout ne se passe pas comme prévu. On ne chasse pas des cibles, des animaux en fuite, des animaux cachés. On ne s’attaque pas à des bêtes sans défense, inorganisées. Cette fois-ci, c’est une bataille.

Les animaux se sont organisées pour notre venue.

Au départ, tout commence comme d’habitude. On rigole bien, on discute. Jo’ nous montre son gros canon, et pour l’apéro d’après chasse, Michel a ramené le rouge et Patrick le sauciflard. On part tout joyeux buter de la bête. Pardon, réguler de la bête.

Sauf que voilà, lorsque Bernard voit une biche au loin, qui d’ailleurs, semble lui faire une grimace, il arme son fusil et il tire. Il reçoit immédiatement des branches d’arbres, des déchets ménagers, des fruits pourris et des noisettes. Les écureuils nous balancent toutes sortes des projectiles. Nous tirons immédiatement en l’air, sans arriver à rien d’autre qu’à attiser d’autres projectiles. On fuit le lieu. Mais les écureuils nous suivent. Nous courrons, l’arme à la main, ce n’est pas pratique.

Dans notre fuite, nous sommes nombreux à tomber ;  un petit tronc d’arbre nous barrait discrètement le chemin. Nous nous relevons sous le feu des projectiles et rejoignons une clairière. Nous sommes enfin à l’abri des attaques aériennes. On en rigole : quelle bande de froussard sommes-nous donc ! haha

Au loin, on voit cette fois un lièvre qui nous tend son derrière. Bien décidé à profiter de cette belle journée pour chasser, nous le canardons sans sommation mais nous le ratons : il est particulièrement rapide. Alors moi, les vingt chasseurs grands et costauds et nos chiens de chasse, nous partons à l’assaut du petit lapin. Nous fonçons à toute allure. Nous tombons alors dans une mare de déjection animal. Le lapin nous regarde et semble rigoler avant de repartir. Fou de rage, couvert de caca et de crotin, Christophe part tout seul à l’assaut du lapin. On l’entend alors pousser des hurlements. Nous le rejoignons mais tombons nez-à-nez contre des sangliers, bien décidé à s’attaquer à nous. Nous braquons nos fusils contre les phacochères mais, pleines de merdes, nos carabines restent muettes.

Nous fuyons sans demander notre reste, abandonnant nos armes sur le terrain. Sur le chemin, qui longe la colline, des renards et des mouffettes s’amusent à nous effrayer par des grimasses. La surprise est de mauvais goût : Jean-Pierre, Norbert et Kiki tombent sur le côté et dévalent la pente. Nous continuons de fuir, plus apeurés que jamais sans nous occuper de nos anciens camarades.

Nous arrivons malgré tout à la voiture. « Quelle histoire ! » s’exclame Jo avant de boire un coup de rouge pour se « remettre des émotions ».

Un retour parmi nous

Je rêve que Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur de Montréal, illustre personnage originaire de Neuville sur Vanne revienne parmi nous et nous raconte sa vie et ses aventures car il y a de grands trous remplis d’ombre dans son cheminement.

Mon rêve éveillée !

Pour le pays d’Othe, je rêve de forêts et de pommes.
Je rêve aussi de prairies, de haies, de vaches et de moutons … on n’en vois plus que si peu !
Je rêve surtout de lien social, d’une épicerie, d’une boulangerie pour mon village, ou le village voisin, d’un p’tit café, un endroit pour se rencontrer !

Et dans mes rêves les plus fous, je rêve aussi d’un cinéma ! mais ça ….

Pour ce qui est des étoiles, dans mon pays d’Othe, elles sont superbes, il suffit de s’allonger sur la pelouse (l’été c’est mieux), et là … on en prend plein les yeux !

Un monde sans déchets

Ma famille et moi rêvons d’un monde riche en ressources naturelles non polluées.
D’une nouvelle vie sans déchets, sans cette merveilleuse invention qu’est le plastique qui finalement s’avère être une des pires.
On avait le bio, le fait maison, le zéro déchet puis nous avons eu le progrès…

L’usine de mercure

Un monde sans discrimination

Les pâtes pour tous

Quelques pas en arrière

Rue commerçante

La tartiflette

Le loto

édé les enfans

Envie de partage

Je rêve d’un pays (d’othe) ou les gens vivraient sans argent, celui ci ne serait plus le centre d’intérêt. les Hommes travailleraient pour son plaisir et non pour s’enrichir, un échange (matériel et humain) se ferait entre les individus ce qui permettrait de faire vivre toute la société. Chaque potentiel (compétence) serait exploité donc plus d’exclu.
La nature reprendrait le dessus, la culture non intensive, l’élevage… Les personnes apprendraient à nouveau à se parler, échanger des idées, la vie deviendrait plus lente et plus détendue, du soleil dans les têtes et dans le cœur….

…Pays d’Othe, mon nouveau chez moi…

je rêve de vieillir dans cette endroit magnifique qui ressemble tellement à mon pays d’origine en faisant ce que j aime le plus, créer …
créer avec mon chéri, créer pour ma famille et mes amis, créer pour gagner ma vie, créer pour embellir maison et jardin, créer pour faire plaisir…
un rêve simple peut-être… mais c est le mien.

Rêve d’un othéen adopté

Un pays d’Othe plus écologique

Je rêve d’un pays d’Othe plus écologique, sans les odeurs et les conséquences des pesticides!

Des volets qui se ré-ouvrent (aides à la rénovation…)

waouf waouf

Pour un monde meilleur

Hors-cadre : rêver du pays d’Othe

Paris, le 7 décembre 2016

Aujourd’hui, les transports en commun sont gratuits, le seuil de pollution est atteint et Paris veut favoriser le RER et le métro face aux déplacements en voiture. La foule est peu dense quand tous les portiques sont ouverts. Je suis mon parcours habituel de manière automatique et je me perds dans mes pensées. Je repense à quelques oeuvres de science-fiction. J’ai toujours aimé la science-fiction. Surtout ce personnage que l’on retrouve régulièrement, celui qui de par sa morale et son éthique dit non et échappe au système. Je m’identifie à lui, et j’aime à penser que j’agirai de cette façon, quel que soit le sujet abordé.

Il est question d’oligarchie et d’entreprises qui nous dirigent, nous connaissent dans le moindre détail parce que la finance est maître (Ares), de publicité et de communication qui nous ordonne d’obéir, de nous auto-formater et de suivre sans réfléchir (They Live), de pollution produite par l’homme qui ne fait qu’adapter son mode de vie pour rester dans sa bulle de confort sans limiter ses déchets (Wonderful Days). Il est question de fausses démocraties, de politiques politiciennes qui nous vident de sentiments car sans eux, nous sommes plus objectifs et ne pouvons recréer les horreurs du passé (Equillibrium), de robots qui prennent la place d’êtres humains et d’humains qui se déshumanisent (Ex Machina), de systèmes où les plus riches peuvent s’affranchir des contraintes naturelles (Gattaca), de sociétés où le passé, peu glorieux, est effacé des mémoires (Le Passeur), où les ressources manquent et où l’Homme joue de la science pour y trouver une solution (La Jetée).

Je passe le portique de Châtelet pour le RER B. En marchant, je me vois dans ces différentes époques futuristes, dans ces différents environnements et j’imagine mes réactions. Je me dis que moi aussi, ma morale et mon éthique me feraient abandonner tout cela pour créer mon monde. Mais voilà, ne sommes-nous déjà pas dans une de ces œuvres ? Voir dans toutes à la fois ? S’imaginer ses propres choix ne serait-ce pas une échappatoire au monde qui nous entoure ? Inutile de reprendre les thèses abordées, même si elles sont poussées à l’extrême, nous sommes dans un environnement semblable. Il y a toujours pire, et nous ne toucherons jamais le fond. Non pas parce que l’Homme n’est pas assez mauvais, mais parce que notre monde est comme un océan sans limite, toujours plus profond. Il y aura toujours quelqu’un, quelque chose en dessous de nous comme au-dessus. Le néant étant déjà une entité à part entière.

Aujourd’hui je ne veux plus choisir entre l’acceptation d’un système qui ne me convient pas, ou le refus de celui-ci. « Mais tu n’as pas le choix » me répondra-t-on. Et si l’on nous soufflait cette réponse ? Peu importe, aujourd’hui, je hack la Société. Parce que lorsqu’un système ne me convient pas, je ne le mets pas à la poubelle, je l’adapte, comme un bout de code, un réseau ou une machine qui ne répondrait pas à mes besoins. Non pas parce je suis plus intelligent que les autres, mais parce que je ne peux pas encaisser les défauts d’une société qui ne me convient pas. Alors avant même d’avoir essayé, j’abandonne et je choisi l’option cachée, je choisi de créer cette troisième option.

Je n’ai jamais compris ceux qui levaient la tête en se disant « qu’est-ce que je serai heureux si [place ton rêve ici] ». Moi je regarde les étoiles, en montagne (car c’est là qu’on les voit sous leur meilleur angle), avec mes amis, ma famille, accompagné d’une jolie fille, seule, à ma fenêtre, et je me dis que je n’ai pas besoin de chercher le bonheur. Le bonheur ne se trouve pas comme si l’on trouvait un ticket gagnant à l’Euro Million, il se crée, se martèle, se forge pour en faire notre modèle parfait, utopique. Je ne crois pas que le bonheur soit ce chemin que l’on parcourt et qui, sans jamais l’atteindre, nous rapproche de notre rêve. A défaut donc d’être Platonicien, je serai « Spinozien » : le bonheur, ce serait jouir de ce qu’il nous reste une fois ce dernier atteint. Aujourd’hui les choix que l’on me propose ne me vont pas, car je ne peux modeler mon bonheur avec, alors je m’en vais. Aujourd’hui j’emmerde la société. Aujourd’hui, accompagné ou seul, j’adopte la maison du Bailli.

Vers l’autoproduction communale

Je rêve d’un monde où nous n’aurions à travailler que quelques heures par semaine. Nous produirions ainsi de manière industrielle tout le nécessaire. Il faudrait se mettre d’accord collectivement sur ce qui est nécessaire ou non : de quoi se loger, se nourrir sainement, le minimum pour s’habiller, se chauffer, se déplacer par exemple. Le reste ; le superflu, comme les loisirs, la mode, l’art et bien d’autres choses, seraient réalisés sur notre temps libre, sans contrainte.
Pour cela, il faudrait construire des ateliers ouverts à tous dans chaque commune, contenant tous les outils nécessaires au bricolage, à la couture, la peinture. Il y aurait également des gymnases ouverts à tous et des salles en tout genre : studio son, laboratoire de chimie, salle de jeux etc.
Jadis, on a construit des lavoirs parce qu’il était plus simple d’en avoir un pour tout le village plutôt que d’en avoir un chacun chez soi. Il en va de même aujourd’hui pour certaines infrastructures et certains outils, qu’il s’agisse de matériel coûteux comme des caméras vidéos ou d’engins encombrants comme une tondeuse, une pelleteuse ou un alambique. Partager ces outils sera plus économique et plus convivial. Nous produirons ensemble, au gré de nos désirs.
Je rêve de partager avec vous une pizza cuite au feu de bois dans un four communale construit avec vous, voisins.

« C'est en effet grâce à deux états que l'homme conquiert la sensation du délice d'exister, le rêve et l'ivresse. La belle apparence du monde des rêves, au sein duquel tout homme est pleinement artiste... »
Friedrich NIETZSCHE, La Vision dionysiaque du monde

« Devant l'eau profonde, tu choisis ta vision, tu peux voir à ton gré le fond immobile ou le courant, la rive ou l'infini, tu as le droit ambigu de voir et de ne pas voir.(...) Une flaque contient un univers. Un instant de rêve contient une âme entière. »
Gaston Bachelard, L'eau et les rêves. Essai sur l'imagination de la matière (1942)

« Le rêve est une obligation adressée au rêveur qui ne peut, pour y répondre, que partir à la recherche de la parole d'un tiers. »
Tobie Nathan